L’équipe du cabinet-conseil du CCSR en prévention et règlement de différends (PRD) compte désormais 13 consultants issus d’horizons différents, dont certains sont basés à Québec. Ils sont tous et toutes des gestionnaires d’expérience, qui connaissent très bien le domaine de l’éducation soit pour y avoir fait carrière principalement au service des ressources humaines, de la direction des études ou de la direction générale ou pour y œuvrer comme consultant depuis quelques années.

 


Monique Proulx, chef de pratique du cabinet-conseil en PRD a le rôle de s’assurer que les interventions se font en concordance avec l’approche privilégiée par le cabinet-conseil et qu’elles soient fidèles aux valeurs, au code d’éthique et aux modes d’intervention qui ont été développés au fil des ans dans le réseau collégial, et plus récemment, dans les commissions scolaires.



 


Monique Proulx prend la relève d’Yvon René, qui était à l’origine du service de prévention et règlement de différends et qui souhaite ralentir sa pratique professionnelle. Monsieur René reste toutefois actif au sein de l’équipe de consultants.


 


« Ce qui nous importe est d’offrir un service répondant aux standards de qualité mis de l’avant par Yvon René, que le consultant choisi par le client soit issu du réseau collégial ou des commissions scolaires, explique Catherine Parent, coordonnatrice des services professionnels au CCSR. Ainsi, l’équipe du cabinet-conseil en PRD partage sa pratique professionnelle, tout en permettant à chaque consultant de conserver son autonomie et sa personnalité. Certains consultants auront des affinités plus grandes avec le client, avec l’établissement ou avec la nature du mandat, nous voulons ainsi offrir le meilleur consultant pour chaque mandat, tout en maintenant l’approche qui nous distingue en PRD. »


 


Outre l’approche multidisciplinaire que le cabinet-conseil en PRD propose, une des forces du groupe est le travail d’équipe, selon Monique Proulx. « La pratique professionnelle du cabinet-conseil s’est développée au fil des ans et des clientèles. Les interventions auprès de groupes sont plus fréquentes, que ce soit dans des services précis ou l’école entière. Certains mandats, notamment les analyses de climat de travail, nécessitent parfois l’intervention de plus d’un consultant. Ainsi, la multiplication des regards critiques sur les problématiques enrichit l’élaboration du diagnostic et des recommandations qui s’ensuivent. De plus, la garantie de neutralité et d’impartialité s’en trouve bonifiée. »


 


« Seul on va plus vite, mais à plusieurs on va beaucoup plus loin, conclut Monique Proulx. C’est ce que nous tentons de mettre de l’avant dans notre pratique professionnelle ».

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